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Optimiser le processus de validation de vos emballages et packagings


February 3, 2022

Avez-vous déjà entendu parler de « l’effet du témoin », également appelé « effet spectateur » ?

Imaginons qu’il y ait six personnes chargées d’approuver votre relecture packaging en deux semaines.

L’approbateur A jette un coup d’œil à l’ensemble du visuel packaging, le revérifie à nouveau rapidement et se dit : “Le reste de l’équipe va regarder cela après, si je rate quelque chose je suis sûr qu’ils vont le voir”.

L’approbateur B adopte la même approche et approuve le document. Et il en va de même pour les approbateurs C et D.

Lorsque le fichier parvient aux approbateurs E et F, ces derniers pensent qu’il a été soumis à un examen minutieux par les quatre autres membres du groupe et le signent en pensant que le la version proposée est totalement exempte d’erreurs à ce stade.

La confiance n’exclut pas le contrôle : plus d’yeux ne signifie pas plus de vigilance..

Dans ce cas, on parle communément de « dilution de la responsabilité ».

Qu’est-ce que cela signifie ?

Chacun, dans le projet, suppose simplement que l’autre doit avoir fait sa part de contrôle et que, par conséquent, chacun finit par n’être qu’un spectateur qui n’a finalement pas contribué tant que ça à la tâche. Il arrive donc que la responsabilité personnelle de chacun s’en trouve divisée par le nombre de personnes en charge du projet.

Répartir les responsabilités “par cm carré” ou « par couche » de l’artwork

packaging-artwork-approval-process

L’objectif est de s’assurer que chaque membre de l’équipe s’approprie une partie bien spécifique du packaging sur lequel il est expert.

Lorsque vous posez les questions :

  • “Qui dois-je contacter pour revérifier l’étiquetage du tableau nutritionnel ?”
  • “Comment puis-je savoir que nous avons bien examiné toutes les parties de l’artwork ?”

Vous devriez savoir qui contacter en moins de 10 secondes.

Et la personne que vous contactez doit connaître ces réponses sur le bout des doigts.

C’est le niveau de précision qui devient la référence en matière d’efficacité du flux de travail d’approbation.

Le flux peut sembler linéaire, mais le défi consiste à ne manquer aucune étape lorsque la création d’artworks implique la mise en place de plusieurs workflows basés sur les SKU ou les composants.

Un process d’approbation d’artworks de bout en bout commence généralement par une demande de création d’artwork et se termine par l’approbation des épreuvages (proofings) faite par le garant du projet.

L’organigramme ci-dessous illustre un process typique d’approbation d’artworks.

workflow

Dans une série d’articles, nous explorerons les différentes étapes d’un processus d’approbation d’artworks et discuterons des meilleures pratiques à mettre en œuvre dans votre organisation.

  • Initier un projet packaging
  • Rassembler les contributions et créer des artworks
  • Approuver et diffuser les artworks
  • FAQ sur le process d’approbation des artworks

Pour illustrer le process d’approbation des artworks, utilisons l’exemple suivant :

Une entreprise lance 3 jus différents (pamplemousse, canneberge et orange) qui seront vendus en 2 formats de bouteille (500 ml et 1 L). Chaque SKU (ou Unité de Gestion de Stock) comporte 3 artworks graphiques (étiquette avant, étiquette arrière et bouchon). Le lancement de projet se compose donc de 6 SKUs et de 18 artworks graphiques.

Lorsque vous êtes en mesure de répondre avec clarté à la question “qui, quoi, quand, où et pourquoi” de chaque élément de l’artwork et à la répartition des responsabilités qui en découle, plus de 75% de votre travail est déjà réalisé.

Avec ManageArtworks

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